Des galeries ornées …

Le temps est à nouveau suspendu, l’univers si différent. Régulièrement, tous les mètres, les bougies ont laissé leurs traces de suie. Ces cicatrices noircies emmènent l’équipe un peu plus profondément dans les ventrailles de craie blanche.

Un liseré au bas des parois témoigne des reflux humides qui grignotent ponctuellement les galeries.

Les archéologues s’affairent. Visages, corps de femme, drapeaux français, drapeaux anglais, dessins, idéogrammes, idiomes… autant de confessions graphiques d’hommes tapis sous la terre dans l’attente.

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Un second réseau…

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La remontée …