Inexorablement le temps s’égrène. Les galibots découvrent, étonnés, les rayons d’un soleil automnal en quittant le premier souterrain. Le travail est trop important pour s’attarder à un déjeuner de surface, et, c’est impatients qu’ils s’engouffrent dans le second boyau.
La descente se montre cette fois plus technique mais ne ralentit en aucun cas l’équipe.
Le premier réseau n’était qu’une introduction graphique. Les galeries se révèlent plus riches ici et les quelques heures restantes ne suffiront pas à documenter tous les graffitis et poèmes qui s’étalent sur plusieurs mètres.